
DIM, papapapam, pub culte

Le site des objets, séries, livres et pubs des années 70 et 80.
Mes Minikitch (plus si mini) trouvent que chéri Yokitch et moi même sommes immatures. Franchement je ne comprends pas pourquoi.
Enfin je ne voyais pas trop notre sens de la gaminerie jusqu’au jour où mon cher et tendre a déboulé dans le salon en beuglant « Hong Kong Fou Fou ». Tout ça parce que je regardais tranquillement un documentaire sur une école d’art martial à Hong Kong. Chéri a également tenté le jet de jambe latéral, mais ceci est une autre histoire mes amis.
Tête ahurie de nos enfants (matures mais peu cultivés). Moi, j’ai bien ri, car oui, chéri et moi nous avons parfois les mêmes références malgré notre petite différence d’âge et parce que je kiffe les jetés de jambe latéraux, surtout quand ils sont réussis.
Lire la suiteFacteur, boulanger, dans les années 80.
Grands-parents, petite copine, copain qui vient dormir, dans les années 90.
L’ami Ricoré est l’invité de nos petits-déjeuners. Ceux où on a le temps. Ceux où l’on mange dehors à la campagne, sur une grande table avec une belle nappe blanche. Vous savez, avec tout le monde qui se lève en même temps, de charmante humeur. Les enfants aident à mettre la table et tout le monde rigole si la boîte de Ricoré a été mise à l’envers.
Lire la suiteLorsque j’étais ado, tous les mecs de mon entourage voulaient devenir pilote d’avion comme Pete Mitchell, alias Maverick, alias Tom Cruise dans le cultisme film Top Gun.
Lire la suiteA quoi reconnait-on une pub efficace ?
Quand le slogan traverse les époques et les générations, c’est plutôt bon signe.
Quand en plus le budget était restreint alors on frise le génie.
C’est le pari réussi de la pub Gerflor, en 1986, l’agence TBWA réalise ce coup de maitre :
Un homme, nu, le sexe caché par une dalle de linoléum gerflor qu’il tient entre ses mains.
Pas de décor, juste cet homme, grand, maigre, au physique qui ne s’oublie pas.
L’autre jour, alors que je papotais tranquillement avec une collègue, à distance raisonnable et dotée d’un joli masque pelucheux bleu, une petite gamine est passée à coté nous.
« Oh, on dirait Punky Brewster », me dit ma voisine de bureau.
Il faut dire qu’elle a presque mon âge ma voisine. On a vu les mêmes séries à la télé. On a entendu les mêmes musiques à la radio et porté des fuseaux et des foulards rose fluo. Enfin surtout elle.
C’est ainsi que nous avons échangé sur nos souvenirs devant la cafetière, presque la larme à l’œil. Enfin surtout elle.
Dans les années 80, avec frangin, on allait voir maman Kitch avec des yeux implorants et la voix chevrotante pour lui demander de ramener des biscuits Kipferl de Bahlsen, les fameux croissants à la noisette.
Lire la suiteHier j’ai pris le train. Banal mes zamis. Par contre ce qui l’était moins c’est l’annonceur. Il m’a beaucoup fait rire avec ses messages pleins d’humour. Ça m’a fait du bien en ces temps de pandémie avec cette angoisse palpable du retour du confinement qui plane sur nos têtes.
Ça m’a rappelé leur pub culte des années 80 et sa mélodie entraînante qu’on chantait dans les cours de récré.