Un goût furieusement chimique mais un goût d’interdit, de rébellion et de liberté.
En 1982, avec ma voisine et amie, on économisait des petits centimes (rappelez vous les mini pièces de 5 centimes). Au bout d’un moment, lorsqu’on avait enfin ce qu’il fallait, on courait, cheveux aux vents, telles de petites Laura Ingalls jusqu’à l’épicerie du village tenue par un centenaire (c’est du moins ce qu’on croyait à l’époque) pour acheter du Tang.
Notre préféré : Pêche-abricot.