Dans le fin fond du petit village de mon enfance (404 habitants avec nous), et tout le temps qu’ont duré mes années collège, j’ai eu un rêve.
Un rêve de liberté : moi, chevauchant les cieux sur le dos d’une licorne ailée, chevelure au vent, ma main effleurant à peine un nuage cotonneux.
Non bien sûr, mais plutôt moi, Kokitch, chevauchant à cru la croupe d’une mobylette Peugeot 103 SP.