Je dois rétablir la vérité : je n’ai jamais eu de jouets Tupperware. Un jour, à Emmaüs, dans le coin que je nomme élégamment « le coin à merdaque », mon œil acéré (vous vous souvenez ?), celui qui a le gène de la vintagerie, a découvert des morceaux de plastique emboîtables qu’il a d’abord pris pour des perles plastique Fisher Price.
Comme quoi la perfection n’existe pas, mon œil n’est pas infaillible lui non plus.