Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours adoré les poupées.
Ma première poupée, David de Clodrey, m’a été offerte par mon arrière-grand-mère pour mon premier Noël.
Je l’ai aimé, habillé, lavé, maltraité, puni, fessé, promené, ignoré, câliné (ouf un qui n’inventera pas d’instrument de torture cf article sur le sous-pull en acrylique).
Il a toujours été là pour moi dans les bons et les moins bons moments.
Il a consolé mes nuits cauchemardesques (quand le loup voulait me croquer).