Pastador, pâte à tartiner Côte d’or de ma jeunesse

Pastador

Dans la caravane, au dessus de l’évier familial, il suffisait de faire coulisser sans bruit la porte de l’étagère pour voir apparaître le Saint Graal de mes jeunes années : Le Pastador, une pâte à tartiner belge trop trop bonne.

Si bonne que j’allais en douce y plonger la cuillère, que dis-je, la louche, que dis-je, le seau dès que l’occasion se présentait.  Maman Kitch n’en achetait pas forcément dans l’année mais le Pastador sonnait l’heure des vacances familiales en camping.
Ceux qui ont un jour possédé une caravane savent qu’hélas (ou heureusement) les moments d’intimité s’y  font rares. Il fallait ruser grave pour subtiliser un peu de cette pâte à tartiner en dehors des heures du petit déjeuner.
D’ailleurs, il faudra que je rédige un mot sur ma caravane, car plus vintage tu meurs (égalité avec celle de Miss Em, dont je rêve de piquer les rideaux)

Pastador côte d’or

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4 réflexions sur “ Pastador, pâte à tartiner Côte d’or de ma jeunesse ”

  • 28 juin 2017 à 16 h 22 min
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    mieux que la pâte à tartiner qui commence par n et finit par a ??

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    • 28 décembre 2017 à 13 h 47 min
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      Vachement aussi bonne mais sans noisettes !

      Réponse
  • 26 décembre 2017 à 19 h 42 min
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    Made in Belgium non ?

    Réponse
    • 28 décembre 2017 à 13 h 44 min
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      Tout à fait, madame la voyageuse est une connaisseuse!

      Réponse

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