rehab no no no ou le plaisir de chiner du vintage

Chiner, le kiff du siècle :

J’aime flâner dans les allées des vide-greniers.
J’aime le soleil qui se pose sans délicatesse sur mon front.

J’aime humer la poussière et l’odeur du vieux livre.

Mon oeil vif et acéré repère les bacs à trésors, aussi vite que les tablettes de chocolat dans le placard des parents.

Je détecte les vieilleries et le plastique orange et l’opaline en un quart de seconde.

J’ai un radar à vintage. J’ai aussi un radar à cons, très utile lui aussi, mais ceci est une autre histoire mes amis.

Et quand je trouve, j’ai une montée d’adrénaline, d’endorphine et d’ocytocine (si c’est un kiki), et tout ça sans transpirer comme après un jogging, n’est-ce pas  Yokitch ?

Ce matin j’ai eu ma seconde waouh.

Pot à crayon années 70 chiner
Trouver THE truc, c’est juste le sommet de l’iceberg. Après je lave (j’adore plonger mes mains dans l’eau savonneuse, ce qui est fichtrement bizarre car je déteste réellement faire la vaisselle. Voilà que ça m’interroge mais refermons là la parenthèse sinon tu vas perdre le fil lecteur). J’aime chercher « the place to be » pour mettre en valeur ma découverte. Et surtout j’aime fouiner, sonder, enquêter dans les bas fond de ma tablette pour retracer l’histoire de ma découverte. Je ne vais jamais acheter sur des sites internet, le plaisir n’y est pas.

Et lorsque je résous le mystère de ses origines, le cocktail hormonal (dont je parle plus haut) se remet en route et j’atteins la paix intérieure et le sentiment du devoir accompli.

Comme dirait Mini kitch number one : «chiner c’est la vie ».

Euh, je ne sais pas si ça ne craint pas un peu cet article.
Arghh, je suis une vintage addict !

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