Dix de chute

Jeu de société dix de chute MB

Le jeu :

Comment je vais arriver à vous expliquer la règle du jeu de stratégie dix de chute alors que je suis incapable de raconter un épisode de Game of throne, ni même de vous résumer l’excellent livre « Oui Oui et le père Noël » de la non moins fameuse Enyd Blyton.

D’abord un plateau vertical plutôt innovant.

Chacun des adversaires se tient de part et d’autre. Pratique pour se curer le nez sans se faire voir.

Puis 5 roues dentées de chaque côté.

Jusque là ça va les amis ? Tout le monde suit à peu près ? Même moi je me comprends. En même temps, la photo ça aide.

On poursuit par une rampe de lancement pour insérer nos jetons colorés et numérotés de façon originale de 1à 5. On avait droit à deux séries de jetons, soit 2×5 = 10, d’où le nom du jeu « dix de chute ». Malin. Rien à rajouter.

Après, mes souvenirs sont plus flous. Concentrons nous.

Les jetons devaient arriver dans une glissière en bas du jeu en parcourant les roues dentées qui étaient au nombre de cinq. Je l’ai déjà dit plus tôt mais je veux être sûre d’ être bien claire. Pour corser l’affaire, ils devaient arriver dans l’ordre croissant, sinon c’était perdu.

Pour cela, on avait le droit de tourner la roue de notre choix, dans le sens voulu et d’autant de cran qu’on souhaitait, liberté absolue. Sensation d’être la passagère d’une décapotable traversant Ocean Drive à Miami Beach. Cheveux au vent, moustique dans la dent.

Lorsqu’on actionnait notre roue, ça faisait également bouger les pions de notre adversaire, de l’autre côté du plateau sauf qu’on voyait pas lesquels. Fallait faire gaffe de ne pas le faire gagner.

En plus j’ai jamais aimé perdre. Heureusement frangin a toujours été de bonne composition.

La démo :

Ça c’est si mes explications n’ont pas été suffisamment éclairantes.

Franchement j’en doute.

La minute intello :

Dix de chute a été commercialisé en 1970 par la société Milton Bradley plus connue sous le nom de MB.

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