Un service Arcopal Aster, encore appelé Antar acheté à une petite mamie et sa petite fille. Il se compose de deux saladiers, un sucrier, un plat, 4 assiettes plates et 7 assiettes creuses. Cela ira très bien avec mes ramequins et mon pichet Aster. Il est en excellent état, pas un défaut sur le motif, pas une ébréchure.
À vrai dire, ce retour de vide grenier 17 est plutôt le résultat d’une virée à mon Emmaüs préféré, qui m’a tant manqué pendant le confinement.
J’adore aller avec mon grand sac à provisions dans la cour des miracles (la baraque à merdaques). Il faut aller vite, ouvrir l’œil et le bon et ne pas trop hésiter car il y a foule.
Ben mon blog a déjà 3 ans. Le temps passe si vite mes amis.
Je reconnais que ce n’est pas toujours facile d’écrire un article par semaine quand on a déjà une vie bien remplie par un job prenant, un chéri geek hyperactif, deux Minikitch et un Cat kitch.
Pas facile non plus cette année avec l’arrêt des vide-greniers à cause de cette vilaine Covid.
Heureusement, vous êtes de plus en plus nombreux à jeter un œil sur mes vintageries (mes amis pensez à vous abonner) et l’envie d’écrire est toujours présente.
Du coup, pour mes 3 ans d’aventures bloguesque, j’ai eu envie de remplacer le top five des articles les plus lus par un top five des articles à redécouvrir.
L’idée de redonner leur chance à des objets vintage délaissés me plait. J’ai la fibre sociale mes zamis. On ne se refait pas.
Un dimanche matin. Les vendeurs dominicaux remballaient tout, balayant d’un revers de la main leur frange dégoulinante. La prairie commençait à devenir bourbier. Je sentais des gouttelettes ruisseler jusque dans mes Kickers. Mes doigts soulevaient les bâches plastique à la recherche de babioles d’un autre temps, créant ça et là de véritables cascades d’eau douce.
Mais, le jeu en valait la chandelle car voilà mes trouvailles du jour :
Pourquoi j’adore ce puzzle vintage Fernand Nathan et tous ses frères d’ailleurs?
D’abord, j’aime les vieux jeux des années 70 et 80. Surtout leurs illustrations surannées, leurs dessins désuets, leurs odeurs de cartons usés, leurs posters cornés.
J ‘en chinais plein dans mon Emmaüs préféré avant le confinement (merci la Covid 19). Alors quand j’ai trouvé ce kitchissime puzzle vintage Fernand Nathan, je n’ai pas résisté et j’ai délesté mon porte monnaie de quelques piécettes jaunes.
Mes minikitch number one et number two ont fait les frais de cette addiction lorsqu’ils étaient enfants. Ce temps béni où je pouvais les couvrir de bisous sans me faire jeter. Bon ne vous inquiétez pas, j’y arrive encore un peu en les coinçant dans le couloir et en les attaquant par surprise.
Ma foi je crois qu’ils ont aimé ça (les puzzles, pas mes manifestations démesurées de tendresse, hélas).
Connaissez vous cette adorable fillette, Emilie de Domitille de Pressensé, héroïne cultissime de la littérature jeunesse française des années 70-80.
Elle ne quittait jamais sa cagoule à moustache de chat. J’hésite avec des cheveux qui dépassent. J’ai un gros doute. Franchement j’ai toujours cru que c’était des poils de félin domestique et à cette époque je n’avais ni myopie, ni presbytie, ni cheveux blancs. Mais mes Minikitch m’ont mis le doute. Y en même un qui s’est moqué de moi bruyamment. Je suis à deux doigts de le dénoncer publiquement dans ce blog. Mais hélas comme la chair de ma chair ne me lit pas, l’intérêt de ma délation est limité. Vaut mieux que je me venge en faisant des brocolis demain.
Vous souvenez-vous des drôles de dames ? 3 super nanas très belles, jeunes diplômées de l’école de police et peu reconnues dans leur job, deviennent de formidables détectives privées grâce à Charlie Townsend, un mystérieux milliardaire qu’elles ne parviennent jamais à rencontrer.
C’est qu’il se cache le bougre. Parfois, on a l’impression qu’elles vont y arriver, mais non. Là, j’avoue que le doute s’installe. Je vous rappelle que nos drôles de dames sont les meilleures enquêtrices au monde. Mais bon, dans les années 70, elles n’ont ni ordinateur, ni tablette, ni smartphone les nanas. Même qu’internet ça n’existait pas. Pas de panique, elles ont un cerveau et elles savent s’en servir.