J’ai été biberonnée au débat sans fin sur la Barbie, cette blondasse à forte poitrine et à petit tour de taille. Barbie l’antiféministe, la sexiste, la terrible Barbie, celle qui renvoyait une mauvaise image de la femme.
40 ans après, il suffit de lancer le sujet à table au boulot pour que les discussions animées reprennent et que les dragons somnolents se réveillent, trop heureux d’avoir quelque chose à se mettre sous la dent qui ne soit pas dangereux pour la cohésion d’équipe. Lire la suite