Le site des objets, séries, livres et pubs des années 70 et 80.
J’ai rencontré mon ami Pierrot sur la route des vacances.
Nous roulions tranquillement dans notre petite auto rouge coquelicot, lorsque comme surgit de nulle part, apparut en bordure de la nationale, je vous le donne en mille, un énorme Emmaüs.
Impossible de ne pas faire de pause.
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Depuis le temps que j’étais à sa recherche ! Mon Graal, mon précieux ! Mon pot Henkel !
Il est difficile de parler vintagerie sans l’évoquer. En effet, il est sur tous les sites, tous les magazines, sur toutes les lèvres. Il squatte nos étagères, nos placards, nos pensées (je m’emballe, je m’emballe). Lire la suite
Je suis un être hypersensible.
Un regard doux peut me faire chavirer et déclencher tout un tas d’ocytocine et autres hormones du bonheur.
Je suis donc l’heureuse propriétaire d’un tas de truc vintage aux beaux yeux.
Cet été, alors que je me promenais dans le sous sol de mes beaux parents, vous savez, celui où se cache le fameux objet de ma convoitise : le verre Amora Candy, mon rêve absolu (si tu me lis belle-Maman, c’est bientôt mon anniversaire), je suis tombée sur un autre trésor vintage : deux adorables Dame-jeanne.
Ami cruciverbiste, sache qu’on peut également l’appeler tourie, mais c’est moins mystérieux.
Bonnes fêtes à tous les fidèles de Kikitch,
à tous les lecteurs occasionnels,
aux copines qui me soutiennent (elles se reconnaitront)
À Miss Em’ qui m’a poussée à écrire
à frangin qui a su garder le sens de l’humour et de la dérision,
à mes parents Kitch qui surveillent mon orthographe et la véracité de mes souvenirs,
à ceux qui me laissent des commentaires, à ceux qui chinent, à ceux qui sourient,
Bonnes fêtes à vous tous.
Depuis la naissance de ce blog, je vous rebats les oreilles avec ma passion pour les tasses Arcopal. Certes, mais il n’y a pas que les tasses dans la vie, il y a aussi les bols Arcopal.
Cette marque de verrerie française me ramène direct chez mes grands-mères : mamie Alfreda et mamie Suzie.
Pour le goûter, elles me faisaient un bol de chocolat chaud fumant dans lequel je trempais la brioche du boulanger du village. Puis je passais ma langue sur mes lèvres pour effacer toute trace de moustache chocolatée. Ensuite, je me lovais dans le canapé pour regarder une bonne série télévisée. Souvent c’était « la croisière s’amuse » ou « les drôles de dames ».
La vérité, c’est que je suis bolophile, je dirai même plus, Arcopalophile.
La preuve en image.
L’autre jour, Miss Chocodapi, la fan des doudou tomate est arrivée au boulot avec cette adorable mini essoreuse à salade Triumph très vintage.
J’ai mis un playmobil pour faire l’échelle, histoire que vous vous rendiez compte du potentiel choupinou de l’objet.
Aujourd’hui, je vais vous parler d’un souvenir côté Kitch et un peu côté nostalgie.
Mamie Suzy me manque.
Elle habitait loin dans un village ensoleillé et magnifique qui me manque terriblement lui aussi.
Le bruit des cigales. Le rideau moustiquaire. L’odeur de la verveine et de la lavande. Le mistral. L’eau fraiche des fontaines. Les aiguilles de pins sèches qui craquaient sous les pieds. Tout ça me manque.
C’est le premier que j’ai chiné, un lapin qui m’a fait les yeux doux. Il était bien caché dans une caisse avec quelques tasses ébréchées, quelques feuilles mortes et des bouquins moisis.
Mon radar à merveilles l’a trouvé.
Ce même radar qui a déniché Yokitch chéri il y a de cela quelques années.
Mais je tiens à vous rassurer mes amis, contrairement à ce petit lagomorphe à longues oreilles, chéri n’était pas caché dans une caisse en mauvaise compagnie.
Cet été, la famille Kikitch a mis le cap sur Berlin pour un séjour placé sous le signe de l’histoire, de la culture… et de la brocante. Ben oui, quand on voyage avec Kokitch, ce genre d’escapade pour dénicher des « pépites » vintage des années 70 ou 80 est une figure imposée. Cela dit, il m’arrive aussi de faire de très bonnes pioches en emboîtant le pas de ma chère et tendre dans ses séances de chine.
Et justement, à Berlin, j’ai pu mettre la main sur un bel objet souvenir, dans les allées d’un vide-greniers, le long de l’avenue Straße des 17. Juni, tout près de l’entrée du Tiergarten (le grand parc situé au centre de Berlin). Sur un stand tenu par des particuliers, une belle médaille avec en gravure la porte de Brandebourg a attiré mon regard. Et un mot inscrit dessus, fleurant bon la nostalgie, a fini de me convaincre de m’y intéresser : DDR.