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Cette chaise Tulip est née bien avant que mes parents ne décident de me concevoir dans une 4L. Elle est apparue bien avant la chanson Ouragan de Stéphanie de Monaco et bien avant qu’Actarus ne débarque de sa planète Euphor. Certes. Mais elle m’a toujours fait rêver. Elle et le fauteuil ovalia Egg du designer danois Henrique Thor-Larsen.
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Ben voilà mes amis, c’est la rentrée.
C’est aussi le retour du blog Kikitch.
J’espère la reprise à grands flots des vide greniers, des caisses à fouiller, de prix à négocier, des souvenirs partagés.
Croisons les doigts mes zamis, et en route pour de nouvelles aventures.
Retour de vide grenier 24, avec beaucoup de vaisselle. Ça tombe bien, j’adore.
voilà mes petites trouvailles :
Deux bocaux en verre avec couvercle Luminarc
Un petit bocal en verre genre apothicaire
un jeu Fisher Price
Des bols et un plat en mélamine Téfal pour le camping
4 tasses Arcopal, une Flore et 3 petites au nom inconnu mais qui me font penser à une toile de Monnet
un boite à savon Sitaplex avec de jolies fleurs bleues romantiques
Un cendrier La Nouvelle République, un journal du Centre Val de Loire
Un service saladier et ramequins en forme de fleur de chez Arc
des assiettes à fondue Le Creuset, j’adore le motif
Une mini cocotte Arcopal
Un service à café Vereco vert fumé pour remplacer celui qui a été pulvérisé quand mon meuble de cuisine a laché
Un petit plat au motif délicat Allemand, bavarois même.
Alors pas mal non ce petit retour de vide grenier 24 ?
En effet, pour être tout à fait exacte, il s’agit en réalité, d’une virée à mon Emmaüs préféré. Il est doté d’une cour des miracles que j appelle avec élégance « la baraque à merdaques ». Si on arrive à entrer à l’heure d’ouverture, on peut faire de chouettes trouvailles. De plus, il faut bien compenser la raréfaction des vide-greniers dominicaux :
Voici donc mes découvertes du jour :
Une corbeille à papier vintage Syla, je savoure ma joie mes amis. J’en ai bien une de ce genre au boulot mais beaucoup moins jolie et je ne pouvais quand même pas la subtiliser.
Des assiettes Arcopal vintage motif Veronica. J’en chine à droite à gauche pour me faire le service. Le motif myosotis est impeccable, pas effacé, pas rayé 🙂
Des tasses Arcopal motif Ronsard
Une verseuse cafetière
Des mini tasses dînette en grés
Un ramequin Arcoroc Diamant, pour compléter mon service, même si la forme est différente.
Une robe de poupée mannequin Bella Tressy, tenue de présentation 1977
Un tableau artisanal Sarah Kay en cuivre et émail
Un tricot Granny en crochet
Un verre à moutarde fleuri
Une saucière Digoin Sarreguemines
Un saladier en mélamine Syla lui aussi, dont je surkiffe le dessin
Un cadre avec une carte postale ancienne en noir et blanc
Un petit panier en osier orange porte-verre
Des petits personnages dont un Baby et un Educalux.
Retour de vide grenier 1
Vide grenier 2
Dimanche en brocante 3
Retour de vide grenier 4
Retour de vide grenier 5
Ca va jusqu’au retour de vide grenier 23 mes amis.
Bon, en cette année post Covid, la chine reprend mais à un petit rythme. Il y a moins de vide-greniers et il faut faire plus de kilomètres. Mais bon, on trouve quand même des petits trésors.
Alors voici mes découvertes de ce retour de vide grenier 22 :
Une poupée Patouf période Hasbro, je ne m’en lasse pas et elle a la fesse signée.
Deux bocaux en verre motif oies, je les avais en bleu. Il me les fallait en rose.
Deux verres oiseaux VMC Reims
Une mini poupée de 15 cm Furga, elle est italienne et se prénomme Lucia
Deux poupées Famosa vintage, la bleue qui parle quand on appuie sur sa main et une petite de 30 cm encore non identifiée, malgré d’intenses recherches.
Un cache-pot Syla que je cherchais depuis longtemps et dont l’acquisition me comble de bonheur et le prix aussi (20 centimes)
y en a jusqu’à 22
Benetton, c’est ma coquetterie d’adolescente.
Coup de cœur absolu de mes années 80-90 : les pulls et les écharpes benetton.
Mémé Alfreda a toujours eu deux mains gauches. Tous les dimanches, je l’entendais faire tomber sa casserole accrochée dans sa descente d’escalier (et pourquoi pas ? Mémé Alfreda était libre, imparfaite, toujours heureuse de me voir le dimanche et ses placards de cuisine étaient bien remplis).
Elle n’a jamais eu de travailleuse en rotin. Ou alors bien cachée. Les chaussettes à repriser lui disent merci.
Mais sa copine Maria si.
Entre la cabine téléphonique et moi , c’est une grande histoire d’amour pleine de souvenirs doux et d’anecdotes cocasses.
A l’âge des premières amitiés, des amourettes naissantes, des amours envahissants et des parents relous on peut dire que nous les enfants des Eighties nous étions des super héros du quotidien. Téléphoner était un acte murement réfléchi, planifié, anticipé. Un acte de courage et de patience.
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Dans ma prime jeunesse, on ne se lavait pas encore avec du gel douche. On utilisait le savon. A l’époque, il y avait du choix, des rayons entiers dans nos supermarchés Codec ou Mammouth. Le savon des années 80 était ludique, parfumé, même si les parfums restaient somme toute assez classiques.
Aujourd’hui, je ne vais pas vous parler de tous ces savons, mais seulement de ceux qui m’ont vraiment marquée. Vous pardonnerez ma liste non exhaustive, mais je vieillis, ma mémoire me joue parfois des tours.
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Lorsque j’étais sur les bancs de l’école primaire, ce dont je raffolais par dessus tout, c’est rêver en passant les doigts sur les bureaux et lire les petits messages gravés au compas dans les fibres tendres du bois.
Mon second souvenir cette fois ci olfactif, c’est l’odeur de la colle Cléopâtre.
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