
Mémé Alfreda a toujours eu deux mains gauches. Tous les dimanches, je l’entendais faire tomber sa casserole accrochée dans sa descente d’escalier (et pourquoi pas ? Mémé Alfreda était libre, imparfaite, toujours heureuse de me voir le dimanche et ses placards de cuisine étaient bien remplis).
Elle n’a jamais eu de travailleuse en rotin. Ou alors bien cachée. Les chaussettes à repriser lui disent merci.
Mais sa copine Maria si.