la croisière s’amuse, série culte des années 80

La croisière s’amuse, le must des années 80 :

 

La croisière s’amuse saison 1

Au fond de moi, depuis la nuit des temps, sommeille une incorrigible romantique tendance culcul.

J’adore les séries sentimentales à deux balles. Vous savez celle où les deux héros se détestent cordialement au début, puis tombent amoureux sans oser se l’avouer. Et enfin,après des tas de péripéties, ils s’embrassent devant un coucher de soleil orangé en regardant ensemble vers l’avenir radieux.

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Pub culte Gâteau Delifrance : C’est moi qui l’ai fait

Valérie Lemercier pub Delifrance 1989
Capture d’écran dailymotion

Delifrance : Le paradis noir

Dans la série des pubs cultes de mon enfance, je vous présente celle des gâteaux Delifrance.

Une jeune femme de bonne famille reçoit des invités qui s’extasient devant le dessert, un fabuleux  « paradis noir » composé d’une superposition de génoises, de chocolat et de glaçage fondant.

https://www.youtube.com/watch?v=l5EJ37tm7N0

La pub est sortie en 1989.

Et dans tous les foyers, à tous les repas de famille, y avait toujours quelqu’un pour dire

« c’est moi qui l’ai fait ».

Et croyez moi, ça nous faisait marrer à l’époque. Enfin ça c’est si vous aviez une télé.

Et je ne résiste pas au plaisir d’inclure le lien de la parodie des nuls.

c’est moi qui l’ai fait

Goldorak, le robot de l’espace

Goldorak, robot des temps nouveaux :

Goldorak le robot de l’espace jaquette de DVD

Quasiment tous les jours, lorsque je mangeais mon choco BN devant le petit écran, Maman Kitch passait en soupirant. Maman Kitch détestait les dessins animés japonais qu’elle trouvait débiles et violents. Mais j’étais une graine de rebelle et j’ignorais crânement ses soupirs pour ne pas perdre une miette de mon émission Récré A2.

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Le grand bleu fête ses 30 ans.

 le grand bleu affiche de Luc Besson

 

 

Le grand bleu :

En ce moment à la télé, dans les journaux, on parle beaucoup du grand bleu, ce film de Luc Besson qui a marqué toute une génération. La mienne.

Ce long métrage  est sorti le 11 mai 1988. 30 ans déjà. Le temps passe si vite.

C’était différent de tout ce qu’on avait pu voir jusqu’alors sur la toile (« par où t’es rentré on t’a pas vu sortir », « les sous- doués en vacances »…). Non, je rigole, les années 80 sont riches en films cultes.

Mais c’est surtout, l’émotion ressentie à la sortie du ciné de bord de mer l’été 1988 qui me revient.

J’étais allée seule dans une petite salle obscure à peine confortable. Tous mes amis avaient déjà vu le grand bleu. C’était en août. Il faisait chaud. Et en sortant je n’avais personne avec qui partager ce trop plein d’émotion (c’est dans ces moments là que j’aurais apprécié mon smartphone mes amis).

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Pliz prend la poussière au piège.

Pliz, pub culte des années 80 :

En 1984, sur notre petite télé familiale, on regardait surtout Récré A2 mais également les pubs « adoudoudoudou »

Premier logo d’antenne 2
Avec frangin, la pub Pliz nous faisait bien rire.

D’abord, Pliz était un aérosol rempli d’un produit destiné à nourrir et faire briller le bois. Il était commercialisé par la firme américaine Johnson.

On aurait bien rejoué la scène mais on n’a pas trouvé de grand bavoir jaune et la table de la salle à manger n’était pas super grande. Et en plus, frangin ne ressemblait pas trop à Marie Pierre Casey.

Et c’est tant mieux parce que je ferai pas ça tous les jours! Qu’elle disait la Marie-Pierre.

Si tu as oublié le visage de cette merveilleuse actrice , si tu la confonds avec Beyoncé ou si tout simplement tu ne la connais pas clique  .

 

Ernest, 1 rue Sésame

Ernest 1 rue Sésame

Chapitre 1 : l’arrivée d’Ernest :

Aujourd’hui, je vais vous parler d Ernest qui a vécu chez nous quelques années et qui a semé la zizanie entre frangin et moi.

Ernest est arrivé dans notre maisonnette en brique rouge un jour d’hiver.

il était enveloppé et sévèrement enrubanné, coincé contre l’aisselle de tata Raymonde. Rassurez vous, en ces temps vintage, on n’avait pas encore le smartphone ni la télécommande mais le rasoir existait. Le déodorant aussi. Heureusement pour Ernest. On a beau avoir un contentieux, je suis contre la mort par asphyxie.

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